Marie-Claude Savard et Jean-Philippe Dion se sont rencontrés à l’époque où ils travaillaient sur le plateau de Salut Bonjour. Ils se retrouvent aujourd’hui dans le cadre de notre balado. L’animateur et producteur de plusieurs émissions populaires répond aux questions en rafale.
1. Es-tu fidèle en immobilier? Très fidèle, mais on s’entend, mon cycle immobilier est quand même récent. Je n’ai même pas 40 ans. J’ai eu un premier condo, une première maison et un premier chalet. Présentement, je réfléchis à l’avenir.
2. Est-ce que tu fais appel à des professionnel·les? Oui! Je suis un gars de contacts. J’en ai pour tout. J’ai des plombiers dans les Cantons-de-l’Est, si jamais il se passe quelque chose à mon chalet, et des électriciens à Montréal. Je ne suis vraiment pas du genre à me référer à un tutoriel.
3. As-tu un coffre à outils? Oui, et il est très bien garni! Il y a beaucoup de choses qui ne sont pas déballées [rires]. D’ailleurs, ma laveuse a lâché cette semaine et c’est mon chum qui s’est occupé de défaire les tuyaux.
4. Préfères-tu la ville ou la campagne? La campagne. Mon but, ce serait de quitter Montréal, mais avec mon métier, ça ne se peut pas. Tous les six mois, je me dis : « Ça y est! On quitte tout. » Finalement, il y a plein de choses qui arrivent et qui font en sorte qu’on doit rester.
5. Penches-tu plus pour le style rustique ou moderne? En fait, mon rêve ultime, c’est de vivre dans une maison ancestrale dans les Cantons-de-l’Est, sur une immense terre. Pouvoir élever des bêtes ou faire de l’agriculture, c’est le setup que je veux à 50 ans.
6. Est-ce que tu t’impliques dans la décoration? Oui, beaucoup. La designer est mieux d’avoir des bons arguments et de savoir où elle s’en va, parce que ça se peut que je la challenge un peu.
7. Es-tu « rideaux ouverts » ou « rideaux fermés »? Assurément ouverts! Dans ma maison, j’ai les mêmes rideaux qui étaient là quand je l’ai achetée. On dirait que c’est une perte de temps pour moi, le concept des rideaux. La lumière est très importante, sinon j’ai le cafard.
8. Est-ce que tu fais affaire avec des courtier·ières ou tu magasines par toi-même? J’ai fait les deux. Pour La vraie nature, l’émission que j’anime, il a fallu acheter un chalet et j’ai fait affaire avec un courtier. J’ai développé une super bonne relation avec lui. Il trouve parfois des maisons avant même qu’elles soient sur le marché, donc il m’appelle. Mais j’ai acheté mon premier chalet en Estrie sans courtier, puis j’ai aimé négocier. C’était le fun!