Varda Etienne a rapidement compris l’influence qu’exerce son environnement sur son bien-être. Aujourd’hui, elle adore la demeure qu’elle loue, qu’elle considère comme un cadeau tombé du ciel. Découvrez la sensibilité de cette grande dame dans le deuxième épisode du balado Bienvenue à la maison : Trouver sa maison de rêve à 50 ans.
La maman de trois enfants est fervente des endroits spacieux. Pourtant, elle a connu l’inverse lorsqu’elle a quitté le domicile familial : un minuscule logement dans la Petite-Bourgogne, où elle était à l’étroit. Enceinte, seule et bénéficiant de l’aide sociale, elle a dû composer avec l’impact négatif que cet espace restreint avait sur son humeur.
Désormais, elle juge essentiel d’habiter dans un lieu vaste et invitant. « Ces prochaines années, je veux vivre my best life : rester dans un environnement qui m’appartient, un endroit serein, bien meublé, où je vais pouvoir recevoir mes ami·es et surtout mes petits-enfants. Quand je vais les garder, ça va me prendre de la place », explique-t-elle.
L’autrice adore accueillir ses proches, être chez elle et écrire dans sa véranda. Elle précise tout le bien que lui procure cette propriété qu’elle s’apprête à acheter.
« C’est moi qui reçois tous les dimanches. La famille, dans notre culture, c’est extrêmement important... Je ne peux pas concevoir que mes parents aillent vivre ailleurs que chez moi ou que mes enfants payent une pension. »
– Varda Etienne
Se qualifiant de personne casanière, elle est fière d’affirmer qu’un milieu de vie peut agir comme antidépresseur. Comme quoi la maison est un lieu d’accomplissement, de partage et d’apaisement.
Apprenez à connaître Varda Etienne sous un autre angle à travers cette discussion empreinte de vulnérabilité.
Article rédigé par Evelyne Chevrette